26 janvier 2008
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20:34
ATTEINDRE LA FIN DU WESTERN
MontpellierDanse2008
le 24 janvier au Chai du Terral
"Atteindre la fin du western c'est atteindre la fin d'un mythe. (...) Le paysage n'existe pas, il ne s'agit que d'un lieu, les gens qui y évoluent ne sont pas à séparer de ce lieu. Ce lieu n'est pas l'objet de ces gens, ces gens ne sont pas le sujet de ce lieu"
Rémy Héritier
photo: site montpellier danse
La surprise est venue des gestes des danseurs, de se retrouver face à des corps faisant des mouvements de danse alors que j'avais supposé, après avoir lu la plaquette et la biographie de Rémy Héritier, voir plutôt une performance avec des êtres dans le réel.
Les codes de la danse retenaient l'attention pour ce décalage et pour leur originalité. Mais je n'ai pas trop apprécié la mise en place de cette danse. Je me suis ennuyé dans le rythme lent et long dans certains passages vides. J'ai cru à une volonté de ralentir le temps pour des spectateurs d'aujourd'hui, sans doute toujours plus pressés. Je me suis certainement trompé.
Pour le jeu à cinq ou trois, désarticulé mais ensemble contenant des idées originales, avec des gestes précis, le danseur attentif, concentré sur lui. Plusieurs unités disparates pouvaient faire un ensemble.
Je m'attendais à des corps qui vivent et non à une représentation. Je m'attendais à un délire du réel, mais non, on était dans la danse. Pas toujours cependant, semble-t-il !
MontpellierDanse2008
le 24 janvier au Chai du Terral
"Atteindre la fin du western c'est atteindre la fin d'un mythe. (...) Le paysage n'existe pas, il ne s'agit que d'un lieu, les gens qui y évoluent ne sont pas à séparer de ce lieu. Ce lieu n'est pas l'objet de ces gens, ces gens ne sont pas le sujet de ce lieu"
Rémy Héritier
photo: site montpellier danse
La surprise est venue des gestes des danseurs, de se retrouver face à des corps faisant des mouvements de danse alors que j'avais supposé, après avoir lu la plaquette et la biographie de Rémy Héritier, voir plutôt une performance avec des êtres dans le réel.
Les codes de la danse retenaient l'attention pour ce décalage et pour leur originalité. Mais je n'ai pas trop apprécié la mise en place de cette danse. Je me suis ennuyé dans le rythme lent et long dans certains passages vides. J'ai cru à une volonté de ralentir le temps pour des spectateurs d'aujourd'hui, sans doute toujours plus pressés. Je me suis certainement trompé.
Pour le jeu à cinq ou trois, désarticulé mais ensemble contenant des idées originales, avec des gestes précis, le danseur attentif, concentré sur lui. Plusieurs unités disparates pouvaient faire un ensemble.
Je m'attendais à des corps qui vivent et non à une représentation. Je m'attendais à un délire du réel, mais non, on était dans la danse. Pas toujours cependant, semble-t-il !